La structure aluminium, un élément clé en événementiel
Concerts, spectacles, foires, salons, stands, discothèques, salles de spectacles, discothèques et même usines : aujourd’hui les structures en aluminium se retrouvent partout, qu’elles soient installées pour une soirée ou de manière définitive. Pour répondre à cette demande croissante le marché a considérablement évolué, on trouve aujourd’hui des structures aluminium à toutes les sauces ! Les structures aluminium à tube simple Les structures aluminium à un seul tube sont légères et parfaitement adaptées pour monter un cadre carré ou rectangulaire qui permettra de dresser un écran de projection ou un panneau en toile (publicitaire, communication…). Ces structures sont aussi les moins chères, toutefois leur solidité est suffisante pour en faire des balustrades temporaires. Les structures aluminium à deux tubes (structures échelle) Il s’agit d’une structure composée simplement de deux tubes parallèles reliés par des montants formant une succession de triangles. Ce type de structure aluminium est idéal, associée à deux montants simples sur trépied, pour ériger un portique apte à recevoir des projecteurs. Structures alu à 3 tubes (structures triangulaires) Les 3 tubes parallèles forment une section triangulaire. Comme pour la structure échelle, les tubes sont reliés sur les 3 faces du triangle par des montants disposés régulièrement. C’est la structure la plus polyvalente : elle supporte des charges relativement importantes (éclairage, accessoires sono) et permet d’envisager tout type d’installation. Structures alu à 4 tubes (structures carrées) C’est la structure idéale pour les charges lourdes (sonorisations, éclairages puissants). Elle est aussi plus chère et plus lourde. Tout comme la structure triangle, sa section carrée en 3 dimensions permet de l’éclairer de l’intérieur et d’obtenir ainsi un effet visuel de premier...
Optimisez votre installation multimédia avec les bons accessoires
Que ce soit à la maison ou en entreprise, les infrastructures multimédia sont de plus en plus nombreuses : affichage dynamique, mur d’image, home cinéma, réseau multimédia domestique… Mais pour optimiser au mieux leur efficacité et les utiliser correctement, il est essentiel de posséder les bons outils de les installer correctement. Petites revues des splitter, switch et autres accessoires audiovisuels. Switch et Splitter, un duo indispensable Si ces deux accessoires peuvent, au premier abord, sembler les mêmes, il ne faut pourtant pas les confondre car ils remplissent deux fonctions distinctes. Le splitter HDMI est un outil qui permet de recevoir un signal vidéo et de le répliquer de façon identique sur plusieurs écrans. C’est utile pour diffuser un même message sur tous les écrans d’une entreprise ou lors d’un spectacle pour afficher une vidéo sur deux écrans de chaque côté de la scène, par exemple. Le switch HDMI, lui, reçoit plusieurs sources parmi lesquelles vous pouvez choisir. C’est particulièrement pratique pour « switcher » (avec une télécommande ou un bouton) entre la TV, l’ordinateur, la box Internet et un lecteur DVD, ou entre plusieurs ordinateurs, par exemple. Vous pouvez parfaitement associer un splitter et un switch sur le même réseau. Mais il existe un outil qui combine ses deux fonctions : on l’appelle HDMI Matrix ou Matrice HDMI. C’est un outil professionnel qui permet donc de diffuser une source au choix parmi plusieurs disponibles et sur plusieurs écrans, ainsi que d’en changer à volonté. Des adaptateurs et rallonges Pour faire fonctionner au mieux l’ensemble de son réseau, il ne suffit pas de multiplier les sources et les écrans. Il faut aussi que ceux-ci affichent tous une bonne image. Et parfois, il peut être nécessaire de changer de format, d’adapter les connectiques ou de rallonger les branchements. Pour répondre à ces besoins, il existe une multitude d’accessoires : adaptateurs (HDMI-DVI, Mini HDMI-HDMI, HDMI-VGA et vice versa…), coudes (pour les branchements proches d’un mur), rallonges, câbles en tous genres… Vous êtes à la recherche de matériel professionnel et performant pour votre infrastructure audio-visuelle ? Rendez-vous sur...
La déconnexion volontaire, le phénomène qui dit non à l’addiction au web
La déconnexion volontaire est le fait de se déconnecter totalement ou partiellement des technologies de l’information et de la communication (TIC) qui sont vues comme chronophages, réductrices de liberté, de perte de la gestion du temps et de dispersion pouvant entraîner une véritable addiction au web. La déconnexion volontaire, un mouvement Ce mouvement existe depuis une dizaine d’années et est apparu en Californie, dans la Silicon Valley avec les « off-liners », ces personnes qui ne souhaitent plus être connectées complètement ou partiellement. Aujourd’hui, avec la généralisation des tablettes et des smartphones, l’injonction, tant professionnelle que sociale, à être connecté en permanence et à répondre dans l’urgence s’est généralisée. Cela entraine parfois un sentiment d’être contrôlé, traqué, avec une réduction de sa vie privée et une obligation par exemple de répondre aux emails et aux sms que l’on soit en dehors de ses heures de travail, en week-end ou à l’autre bout du monde en vacances. Cela entraine une perte dans la gestion de son temps, du stress et de la dispersion. Poussé à l’extrême, certaines personnes arrivent au burn-out car elles sont devenues accros au web et sont connectées 24h sur 24. Cette « drogue » étant légale et se trouvant partout dans le monde, comment s’en protéger ? L’étude Devotic Devotic est une étude dont le rapport a été rendu fin 2014 faisant part sur 5 ans du phénomène de déconnexion aux technologies de l’information et de la communication (TIC). De façon surprenante, ce phénomène s’est aujourd’hui généralisé et ne touche pas seulement les drogués du web, ni les allergiques aux nouvelles technologies mais les cadres, les étudiants, les chercheurs, les touristes, monsieur et madame tout le monde en somme. Dans la plupart des cas, la déconnexion est toujours partielle et dure quelques jours ou quelques heures comme le fait de ne pas emmener son smartphone en week-end ou en pause, de ne pas répondre aux emails ce soir-là ou de se mettre sous mode vibreur. C’est un moyen de se protéger, du moins temporairement, contre l’invasion du web. Les déconnexions totales sont rarissimes. L’homme moderne doit encore apprendre à s’adapter aux nouvelles technologies et pratiquer des pauses numériques permettant de reprendre pied, d’éviter l’addiction et mettre de la distance qui s’avère parfois...
Chat apps : la technologie au service de la communication
Ces dernières années, Internet a constitué une révolution en matière de communication. Après l’émergence des premiers logiciels de messagerie instantanée tels qu’AIM ou MSN, l’évolution continue aujourd’hui avec la présence d’innombrables applications de messagerie instantanée. Messagerie instantanée à plusieurs, appels audio et vidéo gratuits, partage de fichiers entre plusieurs personnes à la fois, partage instantané de photos… Les nouvelles applications rivalisent d’ingéniosité pour proposer toujours plus de services et de fonctionnalités. Voici quelques unes des principales applications qui font fureur auprès des jeunes, qui constituent leur principale cible. LES APPLICATIONS Viber permet à l’utilisateurs de téléphoner par le biais d’internet, et ce gratuitement. L’application permet également de profiter d’un service de messagerie instantanée. Skype appartient à ces applications incontournables et fondatrices de la messagerie instantanée. Cette application gratuite, qui propose un service de téléphonie par VOIP (Voice over IP), rassemble plus de 400 millions d’utilisateurs. Facebook Messenger fait partie des classiques des applications de tchat. avec plus de 500 millions d’utilisateurs actifs chaque mois, Facebook Messenger constitue un des leader sur le marché. L’application propose également des échanges de fichiers. Whatsapp, racheté en 2004 par Facebook, continue sur la lancée de ses débuts explosifs. Avec 700 millions d’utilisateurs actifs, cette application multi-plateforme se détache des autres applications par sa gratuité d’utilisation. Partage de fichiers numériques, SMS ou encore messages audio, ces nombreuses fonctionnalités font de Whatsapp le 4 ème réseau social au monde Firechat est une application de messagerie instantanée qui a la particularité de fonctionner sans réseau (wi-fi compris). L’échange de données s’effectue simplement par Bluetooth. L’intérêt est donc de communiquer instantanément avec des personnes géographiquement proches, comme par exemple dans le...
9 chiffres insolites sur le web
L’année 2014 a été riches en études, plus ou moins utiles et passionnantes, mais toujours très étonnantes. Le site Iletaitunepub.fr à d’ailleurs publiés récemment son top 9 des chiffres les plus insolites que nous vous invitons à découvrir en image...
Le club secret du partage en ligne
Connaissez-vous la rubrique Pixels du site Internet du journal Le Monde (qui bénéficie d’ailleurs de sa version papier depuis quelques semaines) ? Si ce n’est pas le cas, il va falloir y remédier, car cette page consacrée aux news du web est une mine d’informations pour tous les passionnés de médias et technologies. Cette semaine, le journaliste Tristan Brossat s’est penché sur un phénomène peu connu d’Internet : les élitistes du téléchargement. Un club élitiste et protégé On y apprend ainsi qu’il existe un « club » de passionnés du partage en ligne, qui passent leur temps libre à uploader des fichiers musicaux, vidéos et autres œuvres peu connues pour les offrir au reste du monde. Et il est vrai que quiconque ayant déjà téléchargé (légalement ou illégalement) des contenus sur Internet a pu se rendre compte que s’il est facile de trouver le dernier film avec Brad Pitt ou le blockbuster sortis la veille au cinéma, il est beaucoup plus compliqué de se procurer une intégrale des œuvres avec Dietrich ou les albums de Daisybox, ce petit groupe de rock indépendant passé presque inaperçu dans les années 2000. Des élitistes anarchiques qui suivent des règles pourtant très strictes : impossible de rentrer dans le club sans un bon contact, un an de carence, signature d’un contrat de confiance, administration sévère des forums… Des bénévoles hors la loi qui montent leur petite dictature culturelle, un paradoxe complet au service des mélomanes. Pour lire l’article du Monde : http://www.lemonde.fr/pixels/article/2014/09/22/telechargement-le-club-secret-et-elitiste-des-passionnes-du-partage-en-ligne_4492049_4408996.html L’offre légale Inutile toutefois de tomber dans affres du Darknet pour contenter sa soif de culture. Il existe de vraies alternatives légales, rapides et autrement sécurisées pour récupérer du contenu. Les offres de VoD / SvoD telles que FilmoTV renouvellent régulièrement leur catalogue. Ce n’est donc pas parce que vous ne trouvez pas le film voulu aujourd’hui qu’il ne sera pas disponible le mois prochain. Revenez régulièrement ! Pensez aussi à vérifier sur les sites étrangers comme Napster et Amazon ou à passer par un proxy pour télécharger sur l’iTunes store US, par exemple. Bien sûr, certaines productions resteront compliquées à trouver, et plutôt au format classique qu’en numérique. Mais c’est aussi ce qui leur donne leur valeur. Il y a tout de même un certain plaisir dans cette chasse au trésor d’un autre genre. Des astuces toutefois pour améliorer votre recherche : Utilisez les alertes sur les sites d’annonces afin de ne pas passer à côté lors de la mise en ligne d’une offre pour le vinyle que vous recherchez. Passez vos propres annonces de recherche : vous n’êtes pas à l’abri d’une bonne surprise. Enfin, ne sous-estimez jamais le pouvoir des brocantes et...