Deep Dream : quand l’ordinateur fait preuve d’imagination
Deep dream, au départ, était censé être un programme visant à améliorer la pertinence des recherches d’image sur Google. Mais, Alexander Mordinstev (ingénieur de Google), en décidant de bricoler son propre réseau neuronal, a accidentellement créé Deep Dream tel qu’on le connaît aujourd’hui. La naissance du projet Depuis quelques années, les ingénieurs de Google développent un puissant réseau de neurones artificiels qu’ils ont nourri avec des millions d’images. Le programme est censé pouvoir classifier les formes. Cette technique fonctionne avec une marge d’erreur de moins de 5% sans que les ingénieurs sachent comment. Et c’est en voulant comprendre ce mystère que ces chercheurs ont donné naissance à Deep Dream, un programme de vision par ordinateur qui permet de faire apparaître des formes dans une image. Le fonctionnement du programme Inspiré du cerveau humain, Deep Dream est composé d’une superposition de 10 à 30 couches de neurones. Il a la faculté de résoudre des problèmes basiques, ainsi que de se perfectionner lors de ses apprentissages. C’est-ce qu’a confirmé un ingénieur de Google en disant que : « pour faire de la reconnaissance d’image, on montre à Deep Dream des millions de formes tout en ajustant ses paramètres jusqu’à ce qu’il donne le résultat souhaité ». L’avenir du projet Avec Deep Dream, Google ambitionne non seulement d’affiner les recherches d’images, mais aussi d’appliquer cette technologie aux vidéos. Les chercheurs espèrent enrichir le service Google Street View en faisant recréer via un ordinateur les images manquantes dans un décor. Pour les plus optimistes d’entre eux, Deep Dream pourrait devenir un outil pour les artistes, « une nouvelle manière de mixer les concepts...
Goûter un plat virtuellement sera bientôt possible ?
Bientôt, on aura la possibilité de déguster virtuellement les nourritures présentées sur l’écran de la télévision ou de l’ordinateur ! Grâce à la restitution numérique du goût imaginée par une équipe universitaire de Singapour cette innovation sera possible. Un simulateur de goût reproduira les saveurs des mets visionnés sur un écran par le biais d’électrodes. Un chef-d’œuvre de Nimesha Ranasinghe Nimesha Ranasinghe, c’est le scientifique qui a eu l’idée de mettre au point ce prodige technologique. Ce chercheur de l’université nationale de Singapour a remarqué que les stimulations thermiques et électriques non invasives au bout de la langue génèrent des sensations de goût primaires. C’est en manipulant la magnitude du courant, de la température et de la fréquence qu’il recrée des goûts amers, acides, sucrés ou encore salés. Pour le moment, l’équipe n’a pas encore réussi à reproduire la 5e sensation gustative, à savoir le goût de l’umami. Comment ça fonctionne ? Le simulateur de goût fonctionne avec des électrodes. Ces dernières vont retranscrire les goûts d’une nourriture virtuelle au niveau des papilles de la langue. Il s’agit de placer ces électrodes faites de résidus d’argent sur la langue. Elles envoient ensuite des signes pour reproduire les 4 goûts. Les papilles sont trompées par des courants alternatifs et des changements de température assistée par des éléments conducteurs produisant très rapidement du froid ou de la chaleur. Un large champ d’application Ce simulateur intéresse déjà plus d’un ! Premièrement, elle serait d’une grande utilité pour la santé connectée. Les scientifiques envisagent une utilisation en tant que produit de substitution pour apaiser l’envie de sucre chez les personnes en surpoids, éviter l’absorption calorifique de sucre grâce à la sucette numérique, empêcher l’inhalation de goudron par le biais d’une cigarette électronique… D’après le fondateur d’Highlab, Benoît Klajn, ce stimulateur pourrait aussi servir à stimuler la mémoire gustative des personnes atteintes de la maladie...
Les appareils photo endoscopiques
Pratiques, indispensables et plus sécurisants seraient les mots adéquats pour définir les appareils photo endoscopiques. Ces petits accessoires, associés ou non aux Smartphones, restent idéals afin de voir dans les coins inaccessibles ou cachés et de lire sans recourir à des loupes ou lunettes. Pouvant remplacer les caméras de surveillance, ils permettent d’observer en dehors du foyer pendant la nuit, en toute discrétion. Caractéristiques des endoscopes Leur conception les connecte au Smartphone via un câble ou par wifi. Avec une haute résolution (allant jusqu’à 2 méga pixels), ces petits gadgets peuvent filmer en HD à 720 p (sous forme AVI), comme le DBPOWER®. L’angle de vue avoisine les 60 ° ou plus), tandis que la luminosité se fait de manière automatique. Certains modèles permettent de regarder instantanément la séquence vidéo filmée. Leur caractère imperméable demeure propice pour explorer et observer les endroits humides ou mouillés. Les photos et vidéos peuvent être copiés ou déplacés sur un ordinateur. Les accessoires et éléments composants Encore plus pratiques, les endoscopes intègrent des ampoules LED, agissant en lampe de poche et indispensable pendant la nuit ou dans le noir. Ils sont livrés avec un câble flexible, long de 1 à 3 m, selon le modèle. Ces appareils peuvent atteindre une température de 80 ° en cours d’utilisation. Ils demeurent adaptés aux systèmes d’exploitation Linux et XP. L’objectif fait, en moyenne, 8 mm de diamètre, avec un arbre de 7 mm. Dans le cas d’un appareil endoscopique wifi, il faut quatre piles de taille AA pour le faire fonctionner. AMG Tech et ses modèles qui ne nécessitent pas de Smartphone : les ENDOSCAM® Les appareils endoscopiques produits par ce géant européen en la matière sont équipés d’une tête rotative à 360 °, fixe ou béquillable. Ils bénéficient d’une qualité irréprochable et s’adaptent à tout type d’utilisation. Ces gadgets sont dotés de mini-écran d’observation, d’objectifs de 5,5 à 16 mm et d’un câble de 1 à 9 m de long, selon chaque préférence. Une batterie Li-ion rechargeable de 3,7 V assure l’alimentation. Des cartes micro SD permettent l’enregistrement instantané des prises. La sortie vidéo peut être sous la forme NTSC ou PAL avec une résolution de 720 x 480...
Les claviers du futur !
Parfois, la technologie offre de nouveaux produits innovants à tel point qu’ils semblent en avance sur notre ère. Concernant les claviers, les modèles que vous utilisez aujourd’hui pourront disparaître dans quelques années. Que vous soyez adepte de dactylographie ou pas, les 3 modèles présentés ci-après vous intéresseront certainement. Optimus, le clavier personnalisable et multifonction À première vue, l’Optimus ressemble à un clavier comme les autres. En le branchant, vous découvrirez que c’est un périphérique surprenant. Il a été développé par « Art. Lebedev Studio ». C’est un clavier dont les touches sont munies d’écran OLED. Ne pensez pas que c’est juste pour faire joli et pour éclairer. En effet, l’Optimus possède des fonctionnalités très pratiques. Si vous voulez changer la disposition AZERTY en QWERTY par exemple, ce ne sera plus nécessaire de remplacer le clavier. Pour le personnaliser, vous pouvez attribuer un raccourci à chaque touche. Les icônes de vos applications apparaîtront sur les petits écrans des pavés. Sans oublier que le clavier dispose aussi de touches supplémentaires. Cellulon Magic Cube, un clavier de poche D’autres modèles de clavier proposent une technologie ingénieuse. À l’exemple du Magic Cube de Cellulon dont le principe repose sur un système de projection laser. Vous disposez d’un petit boitier rechargeable qui ne fait pas du tout penser à un clavier. Pourtant, une fois allumée, elle transmet sur n’importe quelle surface plane l’image virtuelle de votre périphérique. C’est une sorte d’hologramme sur lequel vous aurez à taper pour faire votre saisie. Des capteurs intégrés au boitier détectent et interprètent le mouvement de vos doigts. Ce bijou technologique s’adapte à tout appareil muni de Bluetooth : ordinateur, tablette ou Smartphone. Peu encombrant, vous pouvez l’emmener partout pour une utilisation de 2 h 30. Air Type, le clavier invisible Pour saisir vos textes, vous pouvez même le faire sans clavier. C’est le cas d’Air Type, un prototype surprenant qui se présente sous forme de deux bracelets. Ces deux poignées sans fil sont connectées à vos appareils via Bluetooth. Une fois placés sur chacune de vos mains, vous aurez la possibilité d’utiliser n’importe quelle surface comme support. C’est à peu près le même système que pour le Magic Cube sauf que, cette fois-ci, l’image du clavier sera dans votre tête. De ce fait, cela requiert une bonne maîtrise de la dactylographie. En d’autres termes, vous devriez connaître « au bout des doigts » la répartition des touches. En effet, seuls les mouvements de vos doigts permettront de déterminer quelles lettres vous voulez...
SOPAC : au service des professionnels
Placez votre confiance dans ses articles de mesure Depuis 1978, SOPAC est spécialisé dans la mesure de normes spécifiques comme la qualité, l’hygiène, le processus thermique, la chaîne du froid. Au fil des années, cette entreprise familiale a noué de solides partenariats avec des fabricants européens comme par exemple la marque allemande EBRO pour les thermomètres et enregistreurs de température ou la marque belge RMONI pour les systèmes centralisés de gestion de température. De nombreuses grandes marques placent leur confiance dans www.sopac.com à l’image de Quick, Lustucru ou Fleury Michon en raison de la large offre d’articles régulièrement actualisée. Chaque article respecte scrupuleusement les normes européennes à l’image de la certification technique ISO 9001. Bien entendu chaque appareil est dédié à des professions particulières (grossistes, industriels, laboratoires, hôpitaux, restaurateurs…) détection des allergènes, enregistreur de pression… Comment bien choisir ses articles de mesure Un clic sur le site de vente en ligne www.sopac.com suffit pour sélectionner un appareil portatif, une solution de surveillance sans fil, un enregistreur de pression ou humidité ou température, un appareil de détection microbienne/bactérienne, un instrument de laboratoire, un enregistreur avec afficheur. La rapidité de la livraison permet aussi de pallier aux situations urgentes. L’entreprise propose aussi des prix attractifs afin de permettre aux professionnels de bénéficier d’articles modernes et efficace. Pas question de faire des économies sur des normes liées à la sécurité. C’est pourquoi les promotions sont régulières, comme par exemple en ce moment sur le thermomètre TFX 410-1, robuste, précis et étanche ou le thermomètre combiné Infrarouge & sonde de pénétration TLC 730, qui assure un contrôle efficace des chambres froides et des marchandises (transport comme...
Quelles solutions pour améliorer la croissance verte ?
La vaisselle jetable 50% bio obligatoire à partir de 2020 Lutter contre la pollution et la production toujours croissante de déchets est l’une des priorités du gouvernement français. En août 2015, la loi sur la transition énergétique prévoit une diminution de ces déchets et donc de cette pollution. Cette loi implique notamment l’obligation d’utiliser de la vaisselle jetable bio, plutôt que de la vaisselle en plastique non recyclable qui polluerait davantage l’environnement. La population augmente, et les déchets avec. Mais à la croissance démographique doit s’accompagner la croissance verte. Il s’agit de concilier les deux : faire face à l’augmentation de la population, tout en protégeant l’environnement. La loi sur la transition énergétique prévoit de bannir la vaisselle 100% plastique, et d’obliger à mettre dans la vaisselle jetable écologique au moins 50% d’éléments bio. Ainsi, la moitié de la vaisselle jetable sera composée de matière organique, donc naturelle, et sera de fait nommée « biosourcée ». Cette loi sur la vaisselle 50% bio entrera en vigueur en 2020, mais ce ne sera qu’un début puisque la part de bio dans la vaisselle jetable passera à 60% en 2025. Mais le meilleur moyen de devancer la loi, n’est-il pas de commencer dès maintenant à consommer de la vaisselle jetable écologique ? La vaisselle écologique existe déjà Bien sûr, la loi qui sera promulguée en 2020 n’est pas une nouveauté, puisqu’il s’agira seulement de normaliser une situation qui est déjà progressivement entrée dans les mœurs. En effet, si la France est le premier pays à bannir la vaisselle jetable composée de moins de la moitié d’éléments bio, elle avait également déjà entamé le processus en fabriquant de la vaisselle écologique. La vaisselle jetable bio existe déjà depuis plusieurs années, et est largement utilisée parmi les consommateurs. Elle prend chaque année de plus en plus de place dans les rayons des supermarchés. La loi de 2020 ne fera donc qu’entériner un processus déjà largement entamé, à cela près que la vaisselle premier prix pas du tout naturelle n’existera plus. Cette vaisselle bio se décline en de nombreux éléments puisqu’on trouve des assiettes (simples ou compartimentées), des verres (gobelets, flûtes à champagne…), des couverts, des boîtes pour transporter le tout en pique-nique… Par ailleurs, de nouveaux produits apparaissent régulièrement sur le marché, qui séduisent à leur tour des consommateurs toujours plus nombreux. Cette vaisselle de plus en plus « moderne » séduit un grand nombre de Français, d’autant plus qu’elle est écologique et que quelqu’un un tant soit peu soucieux de l’environnement peut en consommer sans scrupule. La plupart des sites de vente en ligne de vaisselle jetable mettent en avant le caractère écologique de leur démarche...